L’interview décalée de Randy Fondelot

L’interview décalée de Randy Fondelot | Red Star Football Club

Questionnaire de Proust - Randy Fondelot

Après Vincent Fourneuf, Randy Fondelot, le préparateur physique du Red Star, se prête au jeu de l’interview décalée !

Qu’est-ce qui te fait te lever le matin ?  
Incontestablement …le travail !



Ta plus grande qualité ?
La loyauté.



Ton plus grand défaut ?
Une très grande exigence envers moi-même, qui me rend parfois trop exigeant envers mes proches.



Le héros de fiction auquel tu aimerais ressembler ?
Gil Grissom dans les experts Las Vegas,  pour sa capacité à saisir le petit détail qui l’emmène sur le chemin de la solution et pour sa culture générale exceptionnelle …En plus  il est moins prétentieux qu’Horatio  Caine…! (rires) 
Et oui ! Je suis fan de ce genre de série.


Ton héros dans la vie réelle ?   
Ma mère est la personne que j’admire le plus au monde. En dehors de mon entourage, c’est Nelson Mandela …Sans aucune hésitation !



La chanson que tu siffles sous la douche ?     
Ayo technology …la version acoustique de Milow.



Ton film culte ?      
Les affranchis.



Ce que tu détestes par dessus tout ?   
L’injustice et  la méchanceté, sous toutes leurs formes, qu’elles soient gratuites ou non.



Le talent que tu aimerais avoir ?    
J’aimerais avoir le don d’ubiquité…Non je rigole, j’aimerais avoir la capacité de pouvoir prendre du recul face à n’importe quelle situation à l’instant précis où elle se déroule, ce qui n’est pas toujours évident lorsqu’on vit les choses à fond !



Ton dernier fou rire ?   
Il y a un peu moins d’une semaine lors d’une soirée en famille, après le match contre Niort…Une vidéo sur youtube, commentée par ma sœur, mémorable : j’en ai pleuré !



Le bonheur parfait selon toi ?
Pas de privilégiés ni de malheureux ! Que des hommes véritablement libres et égaux, et pas seulement égaux en droit.

Ta devise ?   
En tant que préparateur physique, j’aime beaucoup cette devise : « rien ne sert de courir … il faut partir à point ! » Dans le cadre de ma profession, je la traduis ainsi : « il ne faut pas s’entraîner pour s’entraîner, ou alors s’entraîner pour se fatiguer. Il faut tout simplement s’entraîner pour progresser !!! » Ca paraît peut être logique … mais ce n’est pas ce que j’ai toujours observé, alors ça me paraît important de le dire !

Propos recueillis par Pauline Gamerre.



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