Jean-Christophe Bouet au Red star
Au sortir d’une très bonne saison avec Villemomble, Jean-Christophe Bouet a choisi de s’engager avec le Red Star. Après avoir déjà connu le National avec Bayonne, il n’a qu’une envie : le retrouver, au plus vite ! Entretien.
Tu as signé ton contrat en fin d’après-midi, rejoindre le Red Star c’est une envie qui te vient de loin ?
Quand on joue en Ile-de-France, c’est forcément une ambition de rejoindre le Red Star. C’est un club qui est très reconnu dans la région et au-delà. Il est aussi très structuré. Ce sont des choses importantes au-moment de s’engager. Si on ajoute à cela des ambitions sportives élevées, et le discours ambitieux du staff et du président : il y a tous les éléments pour réussir ici. En tout cas, c’est un grand honneur de pouvoir y jouer.
L’ambition, c’est d’atteindre le National… au plus vite !
Evidemment ! L’équipe a déjà réalisé un très bon parcours en CFA cette saison et je pense que c’est très important d’avoir cette expérience du haut du tableau. L’objectif maintenant, c’est clairement la montée et nous allons tout faire pour l’atteindre. Même si on sait que dans le football rien n’est jamais acquis d’avance, la qualité du groupe doit nous permettre de jouer le titre.
Un synthétique est en cours d’installation sur le stade Bauer, pour toi c’est positif ?
A mon poste, c’est un atout. Je connais bien cette surface et celle qui sera installée à Bauer sera de grande qualité. Pouvoir bénéficier d’un terrain parfait sans faux rebond, c’est une assurance supplémentaire pour un gardien. En plus, le synthétique va nous permettre de jouer même en hiver. Donc oui, c’est positif !
Le stade Bauer, tu connais bien ?
Je n’y ai joué qu’une seule fois, mais c’est un stade que j’apprécie. Les gens sont des vrais supporters et non des spectateurs, ce qui est assez rare en CFA. La pression est sur l’adversaire… et, quand on y évolue avec le maillot du Red Star, on doit se sentir portés. Cela pousse à se surpasser.
Propos recueillis par François-Xavier Valentin
Crédit Photo : Philippe Le Brech
