L’éclectisme du Red Star se note sur tous les plans, au premier rang desquels la musique. Pour les Féminines, Hatouma et Imene nous le prouvent.
Qu’est-ce qu’écoutent les filles du Red Star ?
Hatouma : J’écoute de tout. Rap, RNB, coupé décalé, zouk, techno … Vraiment de tout. Même du Grégory Lemarchal ! Mais beaucoup de rap tout de même.
Imene : Moi, c’est plutôt du raï, beaucoup beaucoup de raï. Et puis du reggaeton et du RNB.
Ton premier choc musical ?
Hatouma : La toute première, je ne peux pas dire. L’une des premières est de Booba : n°10. Probablement mon premier coup de coeur musical. Après, Rohff a pris une place énorme dans ma vie, au point d’évincer Booba.
Imene : Casirmir, l’île aux enfants. Sinon, Akon et sa chanson Lonely, un peu triste mais … un peu bien !
Le truc le plus immonde qu’un coéquipier t’ai jamais fait écouter ?
Hatouma : Le raï, sans aucun doute.
Imene : Le coupé décale, je n’aime pas ça.
Le titre de ta playlist que tu ne peux écouter en cachette ?
Hatouma : Je n’écoute pas de chanson en cachette. J’écoute de tout et je ne me cache de rien !
Imene : La dernière fois, j’ai écouté Michel Sardou, La java de Broadway. Et en plus, j’ai bien aimé.
Le style musical qui caractérise le mieux le style de ton équipe ?
Hatouma : De la salsa ou du zouk.
Imene : Du reggaeton, et parfois du raï.
Hatouma et Imene : S’il ne fallait qu’une chanson, ce serait sans doute Fantasma (Rakim, Ken Y, Zion, Lennox, Wisin et Yandel).
Tu es plus Jump (Van Halen – OM), Les Corons (Pierre Bachelet – Lens) ou Eye of the Tiger (Survivor – PSG) ?
Hatouma : Sans hésiter, Jump.
Imene : Jump, rien de mieux !
Qui tu choisirais pour remixer la musique de la Ligue des Champions ?
Hatouma : Je la laisserais comme ça. Elle est trop bien. Elle caractérise bien les champions.
Imene : Bed rock de Young money. Je vous laisse la découvrir ci-dessous !
Si tu avais la main sur la sono du stade, qu’est ce que tu aurais envie de faire écouter à tout le monde ?
Hatouma : La grande classe de Rohff.
Imene : Rude Boy de Rihanna.
Propos recueillis par David Palaysi