Le capitaine de l’équipe réserve relaie l’impatience d’un groupe privé de compétition depuis la trêve.
Comment l’équipe gère t-elle les turpitudes du calendrier ?
En ce moment, c’est difficile pour nous. Nous avons très envie de jouer. Deux matches reportés alors que nous n’avions pas joué depuis mi-décembre en championnat : c’est long, très long. Comme nous avions enchaîné six victoires et un match nul avant la trêve, nous avions envie de continuer sur le même rythme.
Les résultats de la première partie de la saison étaient-ils encourageants ?
Très encourageants. Cette série nous a permis de nous installer dans les trois premiers du classement, avant de nous imposer face au leader, puis de battre également le deuxième. Nous nous sommes donc emparés de la première place à la faveur de cette série, avant de nous la faire reprendre à la faveur des matches reportés.
Ce bon parcours ouvre t-il des perspectives pour cette deuxième moitié de saison ?
Venant d’une division inférieure, au début de la saison, nous visions le maintien. A peu près quatre-vingt pour-cents du groupe de la saison dernière a été conservé. Nous sommes tous des potes, l’ambiance est excellente, ça se voit au travers des matches. Notre bon classement nous fait penser à la montée, c’est vrai, même si nous ne l’affichons pas haut et fort, car le championnat est encore très long. Il sera toujours temps de préciser nos objectifs dans les derniers matches de la saison. Commençons par profiter du match de ce week-end au Chesnay pour revenir à hauteur du premier, avec encore un match en retard à disputer face aux Ulis, qui sont juste derrière au classement. Nous avons faim !
Propos recueillis par Michaël Grossman