La première partie de saison du Futsal
C’est au tour du responsable de la section Futsal, Alain Hlolamenu, de revenir sur la première partie de saison des deux équipes qui composent cette catégorie !
Alain, quel bilan tires-tu de cette première partie de saison ?
Le bilan est mitigé. Je suis agréablement surpris par les résultats de l’équipe PH, qui effectue un bon début de parcours, se classant troisième à proximité des leaders. A la base, nous ne visions qu’une position honorable, si possible dans les 4 premiers. En DHR, nous avons entamé notre troisième saison dans cette division, et je pensais que notre expérience nous permettrait de viser la montée. Résultat : nous sommes pour le moment quatrièmes, alors que nous devrions être bien calés dans les trois premières places. Cela pose problème, car si la PH monte, le maintien de la DHR l’empêcher d’accéder plus haut.
Les objectifs d’avant-saison ont-ils pour autant changés ?
Ils exigent en tout cas une réaction, et, à cet égard, la bonne tenue de la PH va remettre une pression positive sur le groupe DHR. Il n’y a qu’une division d’écart entre nos deux effectifs, le niveau est assez homogène, et les joueurs de PH sont susceptibles d’évoluer en DHR si la situation ne s’améliore pas.
Quelles sont les forces et faiblesses de cette section Futsal ?
Il y un état d’esprit qui se dégage, une réelle solidarité, car nos éléments jouent ensemble depuis longtemps. Notre faiblesse se situe essentiellement au niveau du nombre de gardiens de but. Sur Saint-Ouen, nous avons largement assez de joueurs de champ, mais pas assez de portiers !
Penses-tu déjà à l’année prochaine ?
Non, pas encore ! Il nous est difficile d’anticiper, car chaque année nous perdons pas mal de bons joueurs, que nous ne parvenons pas à retenir. Ce qui me rend optimiste, c’est le fait que, même si les meilleurs éléments partent, nous aurons de bons remplaçants avec les joueurs actuels de notre équipe réserve. D’ailleurs, un bon nombre font déjà l’ascenseur entre les deux formations. C’est de bon augure pour la suite des événements, quoi qu’il advienne.
Propos recueillis par Etienne Martin
(Photo : Philippe Le Brech)
