Deux Audoniens en Argentine
Le 22 septembre dernier, Johan Boulon et Stéphan Honoré, ont participé à un match amical en Argentine sous le maillot de l’association Foot Citoyen, présidée par Didier Roustan. Retour avec les deux Audoniens sur ce déplacement exceptionnel, organisé par Sony, aux pieds des chutes d’Iguazu.
A peine revenus d’un long déplacement à Colomiers avec l’équipe CFA du Red Star, Johan Boulon et Stéphan Honoré ont aussitôt sauté dans l’avion, direction la frontière argentino-brésilienne.
« On est parti le dimanche et revenu le jeudi, commente Johan. C’était donc très court mais on a quand même eu l’occasion de visiter le parc national des chutes d’Iguazu. Un paysage impressionnant« . « Les chutes sont vraiment très hautes, confirme Stéphan. On dirait un décor de film ! C’est dommage que le très mauvais temps nous ait empêché de jouer juste aux pieds des chutes, comme il était prévu. Mais le « terrain rouge » où l’on a évolué valait aussi le détour ! C’était assez pittoresque, et dans une super ambiance.«
Ambiance à laquelle ont largement contribué Sébastien Perez et Manu Amoros. « Ils n’ont vraiment pas la grosse tête, précise Johan. Ils mettaient toujours l’ambiance… et ils ont encore du ballon ! Manu Amoros a notamment participé à l’entraînement. Physiquement c’est un peu dur, mais il est toujours là ! Il était à fond dans la compèt et nous a super motivé.«
Même commentaire du côté de Stéphan : « D’entrée, le coach Manu Amoros nous a dit : « je n’ai jamais perdu contre l’Espagne, et je ne veux jamais perdre ! ».
Et il a été écouté… L’équipe de France, emmenée par son capitaine Sébastien Perez, s’est imposée 4-2, avec notamment une réalisation de Stéphan Honoré. « Un très joli but », tient à rajouter Johan.
Au final, une victoire et une super expérience : « Je ne regrette pas d’avoir joué le jeu, c’est clair ! », reconnaît Stéphan Honoré. « Les chutes d’Iguazu, c’est vraiment un truc à voir. Et l’ambiance était juste super. On aurait dit qu’on se connaissait depuis longtemps. » « Malheureusement, on n’a pas eu le temps de ramener des souvenirs, rajoute Johan. Par contre, j’ai laissé deux paires de pompes : une paire de crampon et une paire de basket… blanche, au départ… Je suis rentré en claquette ! ».
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